“La bonne santé et le bien-être des hommes et des animaux passent par un microbiote équilibré”, telle est l’approche du laboratoire Wamine qui propose des aliments complémentaires basés sur la connaissance des Microbiotes.
Pourquoi une telle affirmation ? quel est le rôle joué par le microbiote ?
Le microbiote, défini comme l’ensemble des milliards de micro-organismes qui aident au bon fonctionnement du métabolisme de l’animal, joue un rôle essentiel pour les fonctions métabolique, immunitaire et neurologique. Rappelons que le microbiote intestinal intervient à hauteur de 60% de la réponse immunitaire des chiens et chats.
Une étude récente du CNRS intitulée « La dépression et l’efficacité des antidépresseurs dépendent de la composition du microbiote intestinal » (1) met d’ailleurs en évidence le rôle du microbiote. Lorsque celui de souris dépressives est implanté chez des souris saines, ces dernières deviennent également dépressives.
Les conséquences d’un déséquilibre du microbiote sont très nombreuses et peuvent entraîner des troubles métaboliques et énergétiques, cutanés, bucco-dentaires, comportementaux, voire cardiovasculaires si la dysbiose n’est pas identifiée et prise en charge. C’est pourquoi, rétablir l’équilibre est essentiel et doit constituer la première étape de tout traitement.
Comment identifier une dysbiose chez l’animal ?
On parle de dysbiose lorsque les bactéries néfastes prennent le pas sur les bonnes bactéries, souvent suite à l’administration d’un antibiotique, d’un vermifuge, d’AINS ou de corticoïdes.
Le laboratoire Wamine a mis au point deux questionnaires qui vous permettront, grâce à quelques questions à poser aux propriétaires d’animaux, d’identifier une éventuelle dysbiose ainsi que la sphère touchée afin de pouvoir réagir rapidement et de manière ciblée.
Comment rétablir l’eubiose ?
Certains organismes vivants, une fois ingérés, ont montré un effet bénéfique sur la santé de l’hôte dans un certain nombre de pathologies autres que les performances zootechniques en prévention ou en traitement, peuvent prétendre à l’appellation probiotiques.
Il est, toutefois, important de veiller à la qualité des souches probiotiques surtout lactobacilles et bifidobactéries qui doivent survivre tout au long du tube digestif afin d’assurer le bon fonctionnement et adhérer aux cellules intestinales afin de les protéger de l’inflammation.
(1) https://www.cnrs.fr/sites/default/files/press_info/2020-03/CP_Lledo_20200306.pdf